Le passé révélé
Lorsqu'enfin
Mandragore fut tiré de sa torpeur, se fut sans peur qu'Orphen s'avança
vers lui. Il souhaitait savoir le pourquoi de sa création aujourd'hui.
Notre ami reconnu son jeune protégé, qu'il avait pendant plusieurs
années, élevé et choyé.
Mandragore avait emporté, de son
passé, toute la technologie nécéssaire, pour lever le voile sur ce
mystère. Il le conduisit devant une console informatique, son
fonctionnement était fantastique. Le jeune homme regarda Orphen de
Borian, et fit signe à Rohann. Il lui fis signe à son ami, de faire
comme chez lui.
- Enlève ton gant, si tu es certain d'etre pret, fais le maintenant, le temps m'est compté.
Orphen obéit sans aucune question ni désinvolture. Il voulait savoir et
de cela il était sûr. Mandragore saisit alors un cable et releva ses
cheuveux. Il ferma les yeux et senti, les regards se poser sur lui.
- Ce corps est anomatronique. Hormis mon âme tout n'est
qu'informatique. Il réagit comme un corps vivant car je l'ai créé
ainsi, je ne souhaitait pas de dépaysement, je voulais avoir
l'impression de sentir la vie. Mon corps est en bien mauvais état, il
se trouve à un étage plus bas. Il est dans un sas de survie, cela le
maintien en vie.
Il brancha le cable à une prise qu'il avait
dans le cou. Des étincelles jaillirent sur le coup. Toute la pièce prit
alors vie, ils furent plongé dans un monde d'hologrammes en action,
dans un monde en complète perdission, un monde fait que de survie.
- Avant de commencer, à te révélé, ton passé, et pourquoi tu as été
créé, je dois de montrer cette époque, pour que tu comprennes sans
équivoque.
Les évènement dont mandragore faisait mention, tout autour d'eux se déroulaient tels une fiction.
- Cela n'est qu'un futur érroné aujourd'hui, mais s'est l'époque ou tu
as réellement pris vie. Je ne vais pas continuer le mystère, tu vois
une époque qui aurais pu être le futur dans bon nombre de millénaire.
Partout les peuples se sont soulevés, de nombreuses guerre ont éclaté,
la technologie a été developpé, au détriment de notre terre bien aimé.
La terre souillée, Gaïa a sombré. La pollution fut si grande, qu'elle
contamina tout les mondes. Les eaux furent également contaminées,
Poséïdon par la maladie a été foudroyé. L'air n'a pas été épargné et
Eol à son tour est tombé. Le feu aussi fut touché, Thanos n'a pu
résister. Comme tu le sais, sans les éléments primaires, il n'y a pas
d'éléments secondaires, en aucun cas ils ne pouvaient subsister dans
un monde déséquilibré. Les glaces ont été à leur tour contaminées,
Trish a été foudroyée, les laves ont suivit, Withim a succombé à la
maladie. Peu après les cieux furent touchés, Ouranos n'a pas été
épargné. Les derniers à avoir été touché furent les astres dans leur
totalité. Pas un n'a pu résister. Les premiers a être tombé, furent les
jeunes astres qui n'étaient pas assez fort pour lutter. Lawrence,
Sessou,
Rohann, les deux Emeryck, Avalonn, Idrillann, sans oublier le fils de
Vilansorya ont suivit. Un à un tous ces amis on péri. Seth a égalément
été contaminé, et très vite il a succombé.
Lorsque Mandragore se remémorait ces sombres évènements, bien que dans
un corps syntétique la douleur lui revenait lentement. Rien n'était
visible sur lui cependant, il savait très bien gérer ses sentiments.
- Le monde est tombé peu à peu dans le chaos, il n'y avait plus les
grandes puissance pour le guidé, alors il a sombré, dans des temps ou
plus rien n'avait de saveur et plus rien n'était beau. Quelques mois
avant cette triste descente en enfer, plus le plus grand plaisir du
père, Trish avait mit au monde un enfant, il était si petit et
pourtant, déjà si fort. Il faisait la fièreté de Seth et il n'en avait
pas tord. L'enfant était magnifique. Ses sourires étaient comme
magiques. Il était fils unique.
Les hologramme devant eux
défilaient. Ils voyaient se que Mandragore contait comme s'ils y
étaient, comme si en ce moment même cela se déroulait.
-
Lorsque Trish sentit la maladie la gagner, quand elle comprit que ses
forces allaient l'abandonner, elle appela à son chevet un ami à qui
elle allait confier le plus beau cadeau de la vie.
Ils
voyaient à présent l'état de santé inquiétant de la déesse, dans ses
yeux se lisait la tristesse lorsqu'elle confia son enfant, à son ami
présent. Mandragore s'était arrangé, pour que l'apparence de l'homme ne
puissse pas être distinguée.
- Son ami emporta l'enfant avec
lui. Il l'éleva comme s'il s'agissait de son enfant sans lui cacher ses
origines cependant. Ils restèrent ensemble dix sept ans avant que ne
surgisse un sombre évènement. Chacun des tes sourirs Orphen, furent
pour lui un espoir pour se tourner vers l'avenir. Pour ne jamais céssé
de se battre pour une meilleure réalité. Voici la dernière image que de
toi cet homme a gardé, avant que vous ne soyez séparés.
- Déjà à cette
époque Fenrir avait été créé. Non pas parce qu'une femme tu avais aimé,
mais parce que le gris l'avait décidé. En ce temps la les rôles étaient
invercé. Fenrir était instable, et Dantes d'une solidité inébranlable.
Sous leurs yeux inlassablement les hologrammes défilaient constament.
- L'évènement qui vous a séparés fut une attaqué massive d'ennemis qui
s'étaient alliés. Lorsqu'il pu enfin te rejoindre, ton état n'était pas
des moindres. Rien ne pouvait te soigner ou t'appaisé. L'homme qui t'a
élevé a alors décidé, de t'emmener avec lui dans le passé. Il franchis
alors pour la première fois, l'espace temps, avec toi dans ses bras,
sans hésité un seul instant.
Comme a chaque fois, l'homme qui
le portait dans ses bras, avait le visage dissimulé par un léger
flouté. Mandragore ne voulait pas que son secret, si longtemps protégé,
soit ainsi dévoilé et ses efforts balayés. Il ne souhaitait pas
qu'Orphen se sente redevable, alors qu'il n'était en rien coupable.
Qu'il lui avait permir de tenir et de garder le sourire. Ce qu'il garda
bien de dire, c'est que ses premiers pas, son premier mot, ses rires et
sourires furent pour lui la meilleure thérapie. Rien n'était à ses yeux
plus beau.
- Lorsque vous êtes arrivé, à l'époque que tu
penses tienne, alors qu'elle n'est meme pas la sienne, s'était juste
une époque où vous vous étiez réfugiés. Cet homme dû te rajeunir,
l'opération effaça tes souvenirs. Il créa un immense laboratoire,
ganrdant ainsi l'espoir, qu'un jour vous serez de nouveau réuni, mais
la vie n'en avait pas décidé ainsi. Il dû te placer dans une cuve de
survie pour que tes blessures soient soignées. Se fut la dernière fois
qu'il te vit, par la suite le sort ne l'a pas épargné.
Orphen vit la manière dont l'homme l'avait placé en sécurité pour qu'il soit soigné.
- Cet endrois devint bien plus tard, plus son plus grand désespoir, le
palais des glaces, de lui il ne laissa aucune trace, hormis ceci.
Mandragore s'approcha de lui. Il posa sa main sur son torse, le
médaillon qu'il portait ressortis de ses vetement, pour se mettre en
place, bien apparent.
Lorsqu'il entra en contacte avec sa main, la pierre se mit à briller sans dédain.
- Avant de te
placer, dans se caisson pour te soigner, il te confia sa source de vie,
pour que tu ne sois jamais totalement séparé de lui. N'as-tu jamais
ressenti, une douce énergie, des forces te revenir, lorsque tu pensais
ne plus pouvoir tenir? S'était lui, il n'a jamais pu se résoudre à te
laisser. Il n'a jamais voulu t'abandonner mais on avait décidé pour lui.
Mandragore enleva sa main de la pierre, qu'il avait jadis confié à cet
être si cher. Les hologrames reprirent, sans qu'Orphen ne puisse
réagire, à se que Mandragore venait de dire.
- Cet homme s'est
servit de se qu'il savait de ton père, avant qu'il soit changé par la
guerre, pour t'en créer une image. Il assura aussi ton apprentissage.
Pour ne pas que tu sois démuni, il te fit parvenir des notions de
technologie, de combat, et de survie. Il t'enseigna également ainsi la
musique et plus particulièrement la guitarre. Lorsque tu étais enfant,
que tu n'étais pas bien, il n'y avait que cet intrument qui t'appaisait
et te faisait grand bien. Quand tu as commencé à grandir il t'emmenait,
au concert où il se présentait afin récolter des fonds pour les plus
démunis. Tu étais sur scène avec lui, tu l'accompagnais avec ta
guitarre et tu en jouais.
Les hologrammes les montraient, mais Mandragore cachait toujours le visage de l'homme qui était venu à au secour d'Orphen.
-
L'homme dû te laisser seul car il subissait, les assaut d'un ennemis,
qui vous avait suivit, et qui lui en voulait. Pour des raisons sur
lesquelles je ne m'étendrais pas, il ne pu revenir près de toi. Alors
de loin il t'observait, sans pouvoir t'approcher bien que tu lui
manquais. Au fond de lui il garda l'espoir, qu'à ta sortie tu
recouvrerais la mémoire. Mais se fut vain car il n'en fut rien. Peu
après que tu sois sorti de ta guerison, il s'est arrangé pour que tu
croises la route d'Orion. Puisque tu ne te souvenais pas de lui, il
voulait que tu puisse faire ta vie, et il savait que s'est auprès de
parents, plus qu'aimants, qu'un enfant se construit. Il a meme été,
jusqu'à s'arranger pour que Ma Poule et toi vous vous croisiez.
-
Malheureusement le temps le rattrapa. La pollution commença. Pour son
plus grand malheur, il dû repasser le seuil à contre coeur. A mon
arrivée ici, je connaissais l'histoire. Je me suis donc atelé à se
qu'elle perdure. J'ai inventé un langage, pour qu'à ton passage, tu
puisses le trouver et connaitre ton passé. A mon arrivée, tu n'avais
pas été créé, Vilonsoria et ses frères étaient alors agés, d'à peine
une dizaine d'année. Je me suis donc atelé, à se que se qui fut mon
passé, ne puisse jamais arrivé. J'ai veillé, au reveil de chacun, un à
un, j'ai mis en place le retour des divins. J'ai alors commencé par
Ouranos, puisque déjà était reveillé Chronos. Puis vint le tour de
Gaïa, de Trish, Seth, Dark-Unor, Sessou, Silver, Withim, des autres
dieux et déesses, des astres au complet et j'ai terminé par Athéna.
C'est moi qui ai programmé tour à tour leur retour.
- Sans
jamais sortir de l'ombre, sans jamais quitter cet endrois sombre, je
suis intervenu pour chaque membre de la famille au multiple nom.
Certain me demanderont peut etre des explication. Cela m'importe peu,
qu'ils osent me dire que l'espace d'un instant, Même si d'une seconde
ce n'est qu'un fragment, ils n'ont pas été heureux. Je suis intervenu
dans bon nombre de situation, sans jamais me faire voir, pour ne pas
géner l'histoire, pour ne pas géner les êtres dans leur créations.
-
J'étais la lorsque tu a quitté ton époque pour venir ici. Je n'en ai
pas été surpris. Je suis entré un soir, dans tes songes avec l'espoir,
que ta mémoire t'aurait été restitué. Lorsque j'ai compris que ce
n'était pas le cas, j'avoue avoir un instant baissé les bras. Mais je
t'ai vu avancé, alors j'ai continué de faire se que je faisais depuis
mon arrivée.
Les hologrammes céssèrent, les derniers voiles se levèrent. Mandragore se tourna vers lui. Il sourit.
- Tu dois avoir besoin de temps pour assimiler, pour digérer tout se qui
t'a été caché. Mais si tu as encore des questions, n'ai aucune
hésitation. Si tu ressents de la colère ou de la haine, tu peux y
aller, plus grand chose m'effraie.