En ces temps tourmentés,
Bon nombre d'homme doivent laisser,
Derrière eux leur proches attristé,
En ces temps desordonné,
La tristesse semble avoir trouvé,
Dans cette petite contrée,
Qui de tout est reculé,
Se qui sera desormais son foyé.
Seule dans son grand palais,
La dame du nord pleure celui qu'elle aimait.
Seule dans son immence chambre désormais,
Sa seule compagnie est son portrait,
Seul et unique souvenir de lui qu'elle possédait,
Contre son coeur elle le serrait.
Sa douleur inébranlable,
Était tant palpable,
Ses larmes insaisissables,
Cette tristesse peu enviable,
Monte en elle insassiable,
Immonde créature incroyable.
Ce matin là le soleil s'est levé,
Devant l'aurore une silouhette s'est dessinée,
La princesse, de sa torpeur fut tirée,
A son balcon l'horison elle regardait,
Son coeur battait la chamade de l'espoir né,
La silouhette lui envoya un baisé,
Son bien aimé,
Venait de rentrer.
Elle se précipita hors de palais,
Pieds nus, dans la terre elle courait,
Des larmes de joie sur ses joues roulaient,
Comme une enfant vers lui elle accourait,
Près de lui elle arrivait,
Le serrer contre elle, elle s'apprétait.
Ma sa vision d'horreure,
L'ébranla avec fureur,
Son bien aimé était mort avec les honneur.
A ses blessures il venait de succomber,
Son dernier geste fut pour sa bien aimée,
Son dernier geste fut de lui envoyer un baisé,
La mort l'avait ensuite terrassé.
Sa douleur la princesse se mit à crier,
Son amour venait d'à jamais la laissé,
D'un geste inconsidéré,
La jeune femme vit sa vie s'achever,
Elle alla rejoindre celui qu'elle a tant aimé...