Bonjour des contrées aux mille lacs

Je vous salue, je suis Dangwalc'h le vieux, je demeur parfois au sommet du mont menez, la ou Ogmios frappa de sont mepris le jeune presomptueux que je fus.

J'en devins en quelques instants, moi qui etais si jeune que j'en etais presque vieux, me fis si vieux, que j'en fus presque jeune...
telle est la dure leçon de mes Dieux...


je vous prie d'accueillir l'humble venue de l'Hermite des Monts Menez.
En ces jours sombres, puissent mes folies, vous apporter quelques dievertissements...

Bienvenue l'Ami. Je suis Merlym, soufleuse de Requiem. Tu rencontreras sur ses terres ma Soeur... Avalonn.

Si tu as besoin de quelque chose... n'hésites pas a t'entretenir avec nous.. nous écoutons beacoup et apprécions toutes visite dans notre humble demeure et
tous bon texte ou poésie. Si tu connais d'autre Hermites, n'hésite pas a les inviter.


Merlym.

Helas, la folie dont m'on frappé les Dieux m'isole dans une contrée lointaine, tres lointaine, la ou les eaux de mille lacs, en les terres d'Eldamiel, inondent l'Ocean d'etoiles, que le passé ne serait faire taire, et dont mes yeux dechirent les voiles, telle les pluies abreuvent la terre...

Mais j'en parlerais au oiseaux des rivages, pour que les neuf vagues, en transmettent le message, au contrées des Mille monts...

Puisse les vents les guider. bienvenu a toi.

Les vents guident et deroutent,
Vils Pelerins & voyageurs,
tel l'etoiles en proie aux doutes...
Ils sont l'ecrin de toutes vos peurs...

Mais puisse le vent Obscur du temps passé,
taire sa peine en mes Ruines Oubliées...

Le vent déroute le non initié,
l'incapable voir le mal aimé.
Puisse t-il apprendre a aimé
de courir sur des pétales abimés.

Mille petales en le chemin de nos Coeurs
Rare est le Pelerin qui s'y aventure,
Mille Raffales Enchantent les candeurs
Phare d'Embrun eclaire le Coeur Pur...

Les déferlentes aux éclats de mille soleil
s'écrasent nonchalentes sur les rochers d'ebene.
les rochers de la conscience s'émerveillent
de tant de richesse dépourvu de peine.

Mille hurleurs ne seraient m'eprouver sans peine
Car mille chagrins se cachent en leurs elans
Nul chaleur en ces esprits de troubles et de haines
Que mille matins des l'aube arrachent de leurs vents

Faire pénitence d'une saison sans moisson
Faire souffrance d'une âme sans raison
abrutir le monde des hurlements sans fin
l'appocalypse vient des jours sans lendemain.

Bienvenu à toi noble voyageur. Ton histoire a l'air d'être des plus passionnante. Peut être nous feras-tu le plaisir de nous la conter autour d'un bon feu de bois.

J'espère que les vents te seront favorables ici et que tu trouveras la paix à tes tourments.


Avalonn