Les Anges de Faelle
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Les Anges de Faelle

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 O'neil, la persévérence...

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AuteurMessage
Kitarian
Grand Scribe
Kitarian


Nombre de messages : 497
Date d'inscription : 01/04/2007

O'neil, la persévérence... Empty
MessageSujet: O'neil, la persévérence...   O'neil, la persévérence... Icon_minitimeLun 2 Avr - 14:18

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Qui suis-je ?

Je l’ignore. On me nomme O’Neil De Borian. Je suis également connu sous l’appellation « projet 666 ».

Je
suis le fruit d’une expérience génétique appelée « Mage ultime ». Ces
manipulations génétiques avaient été orchestrées par de puissants
représentants du gris. Leur but était, comme toujours, de répandre le
mal. Ils désiraient créer tout un escadron de mages noirs d’une
puissance défiant les dieux. Ils voulurent créer de la même façon des
soldats ultimes. Ainsi chaque escadron a vu le jour par des gènes bien
spécifiques.

Mon père biologique se nomme Naelyan De Borian. Il
s’agit du seigneur des anges gris. Un homme bon, surprenant et
incroyable à la fois. C’est un homme de bien, droit et juste. La vie
n’a pas été tendre avec lui, elle ne l’a pas épargnée. Il a lui-même
été créé sur la base du sang de son père, Dantes De Borian. Lui aussi,
s’est le gris qui s’est occupé de sa conception. Il a été torturé des
pires façons qui soient avant de parvenir à gagner sa liberté. Ce qui
lui appartient aujourd’hui, il l’a fait de ses mains. Ses joies, ses
rires, ses sourires, ses forces, il ne les doit qu’à lui-même.

Ma mère biologique se prénomme Épona Netthys. Elle a quitté le monde des vivants. J’ignore presque tout à son sujet.

Par
mon père, j’ai deux demi-frères : Shadd et Eitan. Ils sont jumeaux.
Pour eux non plus la vie n’a pas été rose. Ils viennent d’un monde
mécanique régit lui par la guerre et a cupidité des démons. Je ne
connais aucun des deux, j’ai juste entre vu Shadd.

Par mon père,
je porte aussi des gènes de ses trois gardiens : Loz, Kadaj et Cerbère.
Il portait l’un des trois le jour ou les prélèvement qui ont servit de
base pour ma création, lui ont été dérobés. Je ne connais que l’un
d’entre eux : Kadaj. Un homme exceptionnel lui aussi. Kadaj est le
porteur des sources de ses frères.

Par ma mère, j’ai deux
demi-frères également : Erynn et Idrillan. J’ignore tout d’Erynn. Je
sais juste que son père se nomme Khephren d’Abraxas et qu’il est le
seigneur des vents. Idrillan est le fils de Vilonsoria De Borian. Un
sage-homme, un mage puissant, redoutable et redouté, qui possède un
grand cœur.


Je viens du futur. D’une époque pas si
lointaine, régie selon la loi du plus fort. Des temps guidés par la
convoitise, la haine, et la colère des êtres qui la peuplent. Une
époque ou la misère, la maladie, les larmes, les cris, la douleur et la
mort sont le lot de chacun. Une règle s’y est instaurée : tuer ou être
tué. L’un des mots d’ordre est survivre. La guerre règne en mon monde
depuis bien des années et beaucoup sont tombés.

En mon monde,
ouvrir son cœur s’est laisser la porte ouverte à une lame qui viendra
tôt ou tard s’y loger et y insuffler l’un des pires poison qui soit. Je
n’ai donc développé presque aucun sentiment, je n’avais, de toute
façon, pas été conçus pour en éprouver.

À l’age de trois ans,
j’ai été recueilli par mon maître Idrillan. J’ignorais alors notre lien
de parenté. Il m’a trouvé dans l’une de nombreuses beines à ordures du
gris. En effet, j’avais été classé dans les projets no abouti et
échoués. Étant le seul projet viable de l’escadron des mages, j’ai été
ms au rebus avec les restes des autres. Mon maître m’a élevé, nourrit
veillé, soigné, enseigné les langues, l’art des lames, celui du corps à
corps et celui de la magie pendant près de dix ans. Il était comme un
grand frère, un ami, un père et un guide. Il était comme une lumière au
bout du tunnel. J’ai toujours vu comme une main qui se tend, quelqu’un
à suivre. Et quelque par part, un fleuve quand je partirais à la
dérive. Je n’ai jamais manqué de rien. J’ai toujours eu avec lui un
toit sur ma tête, du feu pour l’hiver, des vêtements, de la nourriture,
de l’eau, une oreille attentive et du cœur. Mon maître en a un si grand
que l’on peut s’y perdre.

Quand je fus en age de comprendre,
il m’expliqua ma conception. Ce jour-la, je compris que le moment
venus, je franchirais le seuil pour empêcher ma création.

Les
jours passèrent et ne se ressemblèrent pas. Je fus entraîné tant en
magie, qu’à la lame et au corps à corps. Je reçus un enseignement
complet : lecture, écriture, langues, physique, astronomie, chimie,
biologie, mathématiques et autres. Nous tentions de vivre en « paix »,
mais les escadrons noirs et les milices du gris nous traquaient sans
cesse. Plusieurs fois, mon maître et moi, nous avions été séparés,
maintes fois, je me suis fait attraper, par chance, grâce à mon maître,
j’ai toujours pu m’en tirer sans trop de casse.

Un jour, suite à
une rafle des enfers, mon maître Idrillan et moi nous nous sommes de
nouveau retrouvés séparés. Je m’étais retrouvé à errer dans les égouts
du gris. J’y ai rencontré un jeune garçon : Miryam. Il était le fils
d’une certaine Lémuria d’Abraxas et d’un puissant démon. Nous sommes
très vite devenus très proches. J’avais beau avoir mon maître près de
moi, la solitude lorsqu’on la côtoie depuis sa naissance devient avec
le temps pesante. Miryam était comme un frère. Nous étions semblables
et pourtant opposés. Il était ma moitié et comblait le vide qui régnait
en moi. Nous nous complétions. J’allais le voir en douce, mon maître
n’en a jamais rien su. C’est l’un de me deux secret que j’ai
particulièrement veillé à garder pour moi. Miryam savait que son père
avait des projets pour lui. Un jour, il m’en avait parlé. Sa mère était
une marionnette entre les mains de son père. Elle lui servait de «
reproductrice » et de « passe nerfs»… Il m’expliqua que son père
voulait le mettre à la tête de la grande guerre. Il me prévint de me
méfier, qu’Atlantis, le guerrier ultime, Ronef, Lookheart, un puissant
démon et bien d’autres avaient prêté serment d’allégeance à son père le
temps de la guerre. Il me fit lui promettre que s’il venait à changer,
je serais celui qui lui donnerait la mort. Je lui en fis la promesse et
le serment. Je devais alors avoir sept ans. Un beau jour, je ne le vis
plus. Je ne compris pas ce dont il s’agissait et le pris pour mort.

Peu
de temps avant mes treize ans, alors que j’étais parmis les lignes
ennemies pour leur dérober des informations, je le vis à la tête de ces
derniers. Il avait tant changé. Son regard était devenu si froid et si
dur tout en reflétant le vide de son âme. Je prévenais alors l’escadron
blanc du nord.

Le jour de mes treize ans, j’ai passé la porte du
temps en franchissant le seuil. Je suis arrivé dans le laboratoire ou
tous les projets avaient été conçus avant d’entre envoyé dans deux
laboratoires différents : celui pour les futurs mages et celui pour les
futurs soldat. Après avoir repéré rapidement les lieux, j’y plaçais des
explosifs et fis tout sauter : fœtus, prélèvements, notes et autres.
J’espérais intérieurement y rester et périr dans l’explosion. S’était
sans compter sur mon maître Idrillan. Il veilla à se que je m’en sorte
sans aucune égratignure. Aujourd’hui je le regrette et en même temps je
l’en remercie. C’est un bien étrange sentiments contradictoires…

Quelques
heures plus tard, j’ai rencontré Naelyan De Borian, mon père. Je
n’avais pas été très à ‘aise avec lui, non que se soit un monstre loi
de la… D’où je viens le seigneur gris est une légende. Je suis loin
d’être digne d’un schewing gum collé à sa chaussure. Peut-être bien,
que j’ai tout simplement peur de le décevoir… De la blesser, ou d’avoir
de mauvaises réactions. Je ne sais pas quel comportement adopter,
quelle attitude avoir ni comment réagir. Je ne suis pas se que l’on
pourrait appeler un être démonstratif. Je ne suis pas doué avec les
sentiments. La magie s’est mon truc, je me suis même marié avec elle,
mais l’humanité pas du tout. Une chose est certaine pour moi, si un
jour j’arrivais à sa cheville sa serais pour moi beaucoup. J’aimerais
le découvrir, apprendre à le connaître d’avantage, mais il a un autre
fils. Ils sont très proches et je ne veux pas me mettre entre ce lien
qui les unis.

J’ai également rencontré Épona ma mère. À cette
époque aussi elle n’est plus. C’est une femme remarquable qui possède
un cœur immense. Tout comme de mon père, j’ai beaucoup à apprendre
d’elle. D’où je viens, elle a généré, elle aussi, beaucoup de légendes.

Ensuite
j’ai revu Idrillan mon maître, qui m’a avoué être mon demi-frère par ma
mère… Lui aussi s’est un être d’exception. Il donne, œuvre pour e bien,
sans jamais rien attendre en retour.

À partir de là, tout s’est
enchaîné vraiment très vite. En moins de 24 heures, je suis passé du
stade à j’ai pas de famille et je vais me tuer au stade j’ai une
famille, je suis vivant et je me suis perdu en cours de route.

Un
peu plus tard j’ai rencontré Kadaj. L’une des autres personnes dont je
porte en partie des gènes. C’est un homme bon, droit, de bien et fier.
J’apprécie beaucoup sa compagnie. Je le considère comme n peu plus
qu’un ami, avec qui il m’est possible de parler de tout. Il est à
l’origine l’un des gardiens de mon père et meilleur ami. Naelyan, mon
père, a placé en moi sa source pour le protéger. Depuis il se trouve en
moi et m‘accompagne partout ou presque. Je ne m’en plains pas bien au
contraire, j’aime sa présence. Même s’il ne dit rien, il est apaisant.
Je profite de sa présence car je sais qu’il souhaite retourner auprès
de mon père se que je conçois tout à fait. Ils sont bien plus qu’amis,
des frères… Il a eu sa source de placée en moi contre son gré. Du coup,
il se retrouve coincé dans un gamin de treize ans et paumé. Un gosse
qui a la bougeotte et qui doit sans cesse se dépenser pour ne pas
devenir dingue.

J’ai par la suite rencontré d’autres personne
dont Yanael. Le « projet 665 ». Il avait été créé à la base pour faire
partie de l’escadron des « guerrier ultimes » du gris. Lui aussi est un
garçon exceptionnel. Il a également franchi le seuil.

Dernièrement
Miryam a franchi le seuil. Il n’est pas là pour faire le bien. C’est à
moi que revient la tache de le tuer. Je lui dois au moins sa. Cependant
je ne suis plus certain d’en être capable… Comment pouvoir tenir ma
promesse ? Où trouver la force de le tuer ? Où puiser le courage de
renier et de détruire une partie de moi ?

Je ne pense pas m’être un jour autant éloigné de ma route…

Je n’ai aujourd’hui que deux certitudes :
- À quoi sert d’âtre libre si s’est pour vivre que pour sois…
- À qui sert de vivre si c’est pour vivre que pour sois…
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