La Légende de Dark-Unor.

Je me nomme Dark-Unor. Je suis un Dragon Noir de la famille
La plus ancienne qui soit.
Je vais commencer mes énoncés par le début si vous le voulez bien.







Voila mon nom est Dark-Unor, je suis un dragon blanc... Maintenant
devenu Noir car j’ai été maudit et j’ai perdu ma Noblesse il y a bien
longtemps.

Comment me direz vous. C’est très simple et à la fois si complexe.
Je fais parti de l’ordre des chevaliers dragons. Les Maîtres des Cieux.
Mes parents me firent naître au travers de éléments et de la terre,
ne cherchant pas a me caché ma capacité a me transformer en homme,
j’appris a manier les apparences et la magie sur le bout des doigts. J’ai
jouie ainsi de l’innocence de vivre pendants très longtemps. Nous étions
en paix et cela ne posa aucun problème a qui que ce soit.
Ma mère entra au service du premier roi Atlante, Néosis l’Atlante. Nous
avions dans notre famille la fâcheuse habitude de prendre par au conseil
Atlante et Lémur. Comme à leurs habitudes, les souverains décidaient au
mieux le bien être de leur peuple tout en évitant sagement la guerre.



Ma mère sous sa forme humaine devint la nourrice de Trent d’Atlantis, le
fils de Neosis. Je Fus élevé avec lui car nous étions frère de lait. Devenus
avec le temps presque inséparable, il connaissait mon statut de dragon
blanc et savais que je donnerais ma vie pour lui et vis versa.
Tout se passa pour le mieux, jusqu’au moment Trent prit le pouvoir.

Il était un roi Doux et aimant. Il était reconnu comme le plus apte à
prendre en main la terre Atlante et son peuple. Il me supplia de
m’engager sous ses ordres, ce que je refusais dés le départ. Pour nous
dragons il était hors de question de prendre parti lors d’une guerre ou
d’un conflit d’intérêt et cela nous a toujours arrangé. Une guerre pointa le
bout de son nez…et comme tout bon Atlante, Trent d’Atlantis trouva
comment régler de problème sans faire couler une seule goûte de sang.
C’est ainsi que le conflit en question fut arrangé avec un mariage en bon
et dû forme. Le roi Trent D’Atlantis épousa Sand d’Hyperborée. Les noces
furent festives et joyeuses, le roi aimait sa femme donc ce n’était pas un
mariage de Convenance mais un mariage d’amour.
J’étais heureux pour eux… franchement il formait de ses couples qui
passent très bien même Visuellement.
Le bonheur et la joie marquaient les terres et cela se ressentait tant dans
les moindres feuilles des arbres ou les moindre petits animaux. Tous
proliféraient à merveille et nous ne connaissions aucune famine.
La symbiose complète. Tous s’épanouissaient. Tous étaient en paix.

Sand D’Hyperborée tomba enceinte de leur premier enfant. C’était une
petite fille qui répondait au doux nom D’Epona, une jeune rose… bourrée
d’Epine.
Cette enfant bénit des Dieux, ne pouvait pas reprendre le flambeau du
trône Atlante. En effet Cela ne se fait que de père en fils.

Sauf que cela ne plaisait pas au roi, il me demanda donc d’enseigner à sa
fille le don de soi, la loyauté et la discipline face a un époux.

- Majesté. je doute fortement que votre fille soit quelqu’un qui puisse être
un jour dominé par un homme.
- Je ne veux pas le savoir m’avait-il répondu, je te demande de la
dresser…pour qu’elle puisse prendre a mari le prince de L’est.
- Sans vouloir vous offenser seigneur, cet homme n’est pas digne d’elle….
- As-tu me dire qui je dois prendre dans ma fille ? Que voudrais-tu que je
te donne sa main ?
- Je n’ai jamais dis sa….
- C’est vrai et quoi qu’il en soit elle épousera au prochain printemps, le
prince des régions de l’est.

Je l’avais laissé dire… Epona n’était de ses femmes que l’on case
facilement de tout manière, soit elle tuerait le prince, soit elle s’enfuirait.
Ce qui était certain c’est qu’elle ne resterait pas. Elle aimait trop sa
liberté pour cela. Je le laissais pourtant dire... qui plus est elle été jeune…
le roi ne pouvait pas la caser a l’age de 11 ans…
Le temps s’était écoulé sans que le roi n’arrive à refaire un enfant à sa
femme. Le pire était que sa santé n’était pas des plus forte. La mort le
guettais et nous le savions tous, sans descendant mâle, le royaume
partirait dans les mains d’un autre. Probablement le prince
De L’est en épousa la seule Héritière au trône.

Cela faisait 10 ans et le roi tomba gravement malade. La Reine était enfin
enceinte, mais le roi était cloîtré dans son lit à divaguer. Son frère de sang
prit donc le relais et la régence du royaume. Son but devenir souverain
premier des Atlantes et pour ce faire, épouser sa nièce.
Mais elle était trop jeune il devait donc attendre.
Epona était de ses femmes indisciplinées, de celle que l’on ne mène pas à
la baguette. Un Soir elle me demanda de venir ce qu’évidement je fis. Je la
rejoignis dans ses quartiers.

- Majesté… que puis-je pour vous ?
- J’ai besoin de ton aide plus que jamais mon ami…m’avait-elle dis…. Mon
oncle entrevoit de prendre le trône de mon père et cela je ne puis le
cautionner.
- Qu’allez vous faire ?
- Le tuer si nécessaire pour l’empêcher de mener son plan a exécution.

Le tuer… Aurions nous pu croire que c’était si simple….
Nous savions qu’a la mort du roi, Epona devrais l’épouser et autant pour
elle que pour moi il en été hors de question. C’était amusant de voir avec
quelle hargne elle mettait au point son plan. A peine âgée de 11 ans elle
était déjà un fin stratège. Je l’écoutais mettre chaque nuit son plan au
point, cela dura deux semaines. Je savais que je en devais pas prendre par
a un quelconque conflit mais la s’était plus fort que moi. La cause était
perdu d’avance mais s’était
Pas important. Je la regardais. Elle était belle d’une de ses beautés
indomptables je la regardais mettre son plan au point. Elle me faisait
penser à une feuille bercée par les vents.
En tout les cas elle ne voulait en rien épouser son oncle… ce que je
comprenais, il était grand et sec. Les cheveux roux et les yeux virant sur
le jaune. C’était un être répugnant tant physiquement que mentalement.
J’ai pris par la l’élaboration, puis a la mise en place. Je connaissais ses
capacités guerrière et elle été redoutable. Pourtant l’impassable arriva.

Un soir, notre petite réunion tourna à la bataille d’oreiller. Car en plus
d’être une excellente guerrière, elle adorais s’amuser de la situation. Nous
avons roulé sur le lit et dégringolé sur le sol avec les couvertures,
emportant avec nous les tentures du lit a baldaquin et les oreillers
Edredon et autre polochon.
Elle me tomba dessus, je saisis l’oreiller qu’elle tenait dans ses mains.

- Désolé Princesse… hors de question que vous remportiez cette manche…

Nous roulions sur le sol en tapant dans les meubles. Les vases et autres
sculptures se brisèrent au sol. Nous en rions et lorsque j’y repense
aujourd’hui j’en ris encore. J’étais son aîné j’aurais dû éviter la suite, mais
pourtant je me laissais faire.
Nous nous sommes embrassé. J’ignore qui a déclenché sa le premier, si
c’est elle ou moi. Mais le résultat était similaire des deux cotés. C’est la
que je compris qu’elle n’avait pas l’âge qu’elle paraissait avoir. Ce n’était
pas une enfant entre mes mains, mais une femme.
Mes sentiments pour elle était plus profond que ce que j’avais cru jusqu'à
lors. D’un Simple baiser, nous partions dans un amour endiablé, nous nous
embrassions comme si s’était la seule et unique fois ou nous ferions ce
geste qui nous coûterais si cher.

Vous croirez certainement que j’abuse dans mes propos mais ce n’était
pas le cas croyez moi.
Je n’ai jamais aimé comme cela avant et d’ailleurs se fut la seule et unique
fois ou je pus la Toucher de si prés en lui volant la virginité de ses lèvres.
S’était mal et je le savais, mais je Ne lui résistais pas, d’ailleurs même si
j’avais pu l’aurais-je fais ? Je n’en suis même pas sur.
Un des gardiens a été attiré par le bruit que nous avons fait et été parti
prévenir Le régent.
Il arriva et nous avons été surpris ainsi.

Les gardes nous saisirent et nous avons été mis a genoux devant lui,
Epona fut violement giflée. Je m’insurgeais contre cette punition injuste.
Le régent pris le Fouet contre moi, mais ma petite protégé se rebella, il la
frappa violement elle tomba devant moi.
Je vis le fouet se prés, je protégé la jeune demoiselle qui été inconsciente
au sol. Laissant place à mon aspect de dragon, je le dévorais. Enfin plus
exactement son double. Me rendant compte avec horreur de ce que je
faisais, je repris mon apparence humaine, je fus alors entraîné dans les
geôles et sans ménagement.

Je fus arrêté et attaché dans les prisons de la citadelle. Je n’eus plus
aucune nouvelle de l’extérieur. Même pas de mes parents ou des autres
dragons pour qui j’étais devenu paria pour avoir osé faire ce que j’avais
fait.
Ma mère vint me voir une fois, pour m’expliquer que face aux nôtres,
j‘étais seul. Ce que j’avais bien compris déjà.
Je me souviendrais longtemps de la solidarité des Dragons. Oh oui…

Dans ma cellule, attaché comme un chien au mur, j’étais frappé
constamment pour avoir tenter de bouffé le Régent. Au moins si je l’avais
fais cela aurais soulagé ma protégé mais ce n’avait été qu’un double.
Quelle pathétique fin n’est-ce pas... mais ce n’était pas la fin…mais que le
début de ma déchéance.

Mon procès aurait lieu dans deux semaines. Deux longues semaines qui me
parurent interminable. J’ai demandé plus d’une fois des nouvelles de ma
protégé mais a chaque fois la réponse fut similaire. Elle est mariée au
Régent.
Ces paroles me faisaient a chaque fois un mal que je n’avais pas connu
auparavant. Des paroles et une chanson me furent inspirés, je me la
chanté a moi-même…

« L’écho de mes pas hante la vallée,
des souvenirs envahissent mes pensées
Jours d’angoisses, nuits de douleurs
ta voix survie prisonnière de mon âme
Eternellement.

Le fil de ma vie est ta sagesse,
tu as eue le choix… ce fut la lumière
Trouve ta voie dans ces ténèbres
Déploie tes ailes que ton cœur s’envole
Ton bon sens fut grand, je revis a présent.

Est-ce mon dernier souffle est-ce un point final ?
Engendrer par la haine, je défierai l’enfer.

Le règne défait fut la vie pour moi
ma pensée fut enfin libérée
De ce contrôle démoniaque
le ciel se pare d’une lueur d’espoir
Lueur d’espoir…

Les larmes des anges lèvent une énergie
qui nuance les ténèbres, Eclipse la misère.
Mers, plaines et déserts,
une planète de merveille
Pour vous je combattrais,
Et je peux renaître

Est-ce mon dernier souffle et un point final
Engendrer par la haine, je défierai l’enfer.
Prie les Dieux du Tonnerre
Renie les flammes de l’Enfer. »
( rhapsody of fire)

Cela faisait plusieurs semaines que je n’avais pas vu le soleil et cela
commençait a me manqué, je perdais peu a peu ma blancheur. Je n’avais
plus a mangé que du vieux pas et une pomme. Dans ma cellule seul un rat
osée encore s’y pointer sans risqué de passé un sale quart D’heure.
Lorsque je fus assez faible, ils osèrent enfin me détacher, autant vous dire
que bien plus de deux semaines s’étaient écoulées.
Je repensais sans arrêt a ce qui s’était passé, avions nous eue tord ou
raison ? Je ne regrettais rien, j’avais appris une chose que je n’avais pas
encore connu dans ma vie de dragon. L’amour.
J’appris dans les geôle que la reine allait elle aussi au plus mal. Cela me fit
rire car la folie me guettait dangereusement. Puis arriva le jour de mon
procès… enfin…