Les Anges de Faelle
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Les Anges de Faelle

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 Le chant des sirènes

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Kitarian
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Kitarian


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MessageSujet: Le chant des sirènes   Le chant des sirènes Icon_minitimeMer 25 Juil - 16:49

Le chant des sirènes Thetys

Né de l'amour d'un homme pour un Dauphin, je suis un Ondin. Mi "humain", mi mamifère marin, je ne nomme Téthys.

Mon père, Michel de Melnibonée, Seigneur d'un peuple éparpillé en un monde qui a presque oublié son existance : les hommes de l'eau. La seule chose qui les différenciait physiologiquement des être humain, était leur capacité à respirer sous l'eau. Contrairement aux Ondins ey aux sirènes, ils possédaient non pas une nageoire à partir du bassin, mais des jambes.

Michel de Melnibonée était un souverain bon, doux, juste, droit et généreux. Peut être bien un peu trop d'ailleur... Il aimait un homme, oui, mon père était homossexuel, pour le plus grand damne de son paternel d'ailleur qui ne jurait que par les femmes. Mon père s'était éprit du seigneur des Sirènes et des Ondins : Elnoin Iss. Cela n'avait guère plus à mon grand père, qui pour les punirs, changea Elnoin en dauphin. Il espérait de cette manière les séparer. Cependant le résultat fut tout l'opposé car cela les rapprocha d'avantage et de leur amour, je vis le jour. J'étais un homme en cette époque lointaines...


Le chant des sirènes 1210_c10
Je m'en souviens pourtant comme si s'était hier...

Dans nos coutumes Melbonéennes, il est dit que lorsque l'héritier du trone des hommes aquatiques serait en age de marcher, il devait être conduit aux portes du royaume et abandonné. S'il devait être à la hauteur de la tache qui l'attendrait lorsqu'il serait couronné, son instinct devait le guider sur le chemin du retour.

Ne possédant pas de jambes lorsque je me trouve dans l'eau, ce fut lorsque je sus nager seul que l'on m'arracha de force des bras de mon père et que l'on m'abandonna. Livré à moi même, vous vous en doutez, si je peux en parler aujourd'hui, s'est que j'ai retrouvé le chemin du retour... Certes... Mais 13 années plus tard... J'avais alors 16 ans.

A mon retour au palais, mes pères pensaient que j'avais péris. Je ne saurais dire si se fut de la joie, de la déception, ou du soulagement que je lus dans leurs yeux lorsque je les retrouvais. Mais nous étions devenus des étrangers tous les trois. J'avais mon vécu, j'étais devenu le jeune homme que j'avais moi même forgé avec mes principes, mes idées, mes rêves, ma manière de vivre, mais surtout mes moeurs. Vivre au palais fut un calvaire. J'avais l'impression de me trouver dans une prison...


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Kitarian
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MessageSujet: Re: Le chant des sirènes   Le chant des sirènes Icon_minitimeMer 25 Juil - 17:44



Le chant des sirènes N10



En plus que nous soyons devenus des étrangers, mon retour souleva un autre problème de taille. Lors de mon absence, le peuple des Abysse, que nous appelons vulgairement les "Tritons" entra en guerre avec le peuple de Michael, mon père. Afin de restaurer la paix entre les deux peuples, un pacte fut conclu : mon père devait remettre son fils héritier à ce peuple lorsqu'il atteindrait sa majorité absolue : 21 siècles. Me pensant mort et ne désirant pas affronter un nouvelle fois la perte d'un fils, mes pères pensèrent de plus jamais avoir d'enfant. Pourtant, j'étais désormais là alors que le pacte avait été scéllé. Du haut de mes 16 ans, cela me fit bien rire.

Le temps passa et j'atteignis mes 17 ans. Mais l'appel de la liberté se faisait de plus en plus pressant en mon coeur et mon âme. Je n'aimais pas la vie de sédentaire. JE quittais donc le palais après avoir promis de revenir au moins une fois par ans auprès d'eux et de donner de mes nouvelles régulièrement.

Ma route croisa alors celle de poséidon... Etant prince héritier de l'un des royaumes de l'océan, je fus convié à une reception du dieu. Je ne pouvais décliner l'invitation d'une divinité. Je m'y étais alors rendus à contre coeur.

Durant la reception, pas une fois, je me sentis à ma place. Poséidon avait l'air mal à l'aise, il semblait s'nnuyer et ne pas se sentir à sa place au moins autant que moi. A la fin du repas, il me convia a l'accompagner pour marcher quelques pas dans les jardins du palais. Lors de cette "balade" il m'interrogea : "t'ennuis-tu ce soir?". Ne voulant pas lui manquer de respet je lui avais simplement répondu que je n'étais pas à ma place dans ce genre de cérémonien j'étais donc très mal à l'aise puisque je ne connaissais pas les convenances à suivre dans ce genre de réjouissance. Cela sembla l'etonner et l'amuser. Il me demanda comment un prince pouvait-il ignorer à ce point l'usage. Je lui avais donc dit que pour moi un palais était une prison et que mon coeur était appelé par les chemins du royaume des eaux. Le dieu m'avait avoué suffoquer entourré d'hypocrites. Il ne connaissait rien aux royaumes des eaux et me demanda de lui en parler, ce que naturellement je fis. J'avais conclu en lui expliquant que pour comprendre, il fallait le vivre, le sentir, l'écouter, le toucher et le voir sois meme.

C'est alors que le dieu eu l'une de ses idées les plus sogrenue... Il voulait que je lui fasse visiter ses propres mondes, que je lui serve de guide. A ce moment là, je me souviens m'être dit que cette lubie me couterait certainnement la vie. Pourtant, du haut de mes 17 ans j'accéptais. JE lui précisais cependant que j'avais des moeurs et des pratiques des plus légères. Il m'avait simplement répondu que je n'étais pas son genre. J'avais alors rétorqué qu'on ne se retourne pas sur un dieu pour celui qu'il est mais uniquement à cause de sa puissance.

Nous avons alors quitté précipitament le palais en douce pour parcourir ensemble les océans durant plusieurs années. Au palais, on prétendis que j'étais un criminel et que j'avais enlevé le dieu. BEaucoup furent sur nos talons désireux de sauver la divinité pour avoir sa sympatie. Etonnament, cela amusait grandement Poséidon, mais certainnement pas moi. Nous devions faire attention à tout et à tous ceux que nous croisions.

Nous avons fini par etre retrouvé par un chasseur de prime. Ce dernier s'apprétait à me tuer lorsque le dieu pretexta que je venais de le retrouvé. Il prétendit que je lui avais sauvé la vie, et que j'étais son chevalier.



C'est ainsi que je devins le premier chevalier de poséidon. Je dû faire mes preuves auprès du dieu avant qu'il ne me remette mon armure.

Le chant des sirènes Arm_chrysaor

Une fois que je portais mon armure, che me chargeais personnellement de la formation et du choix de chaque être désireux de devenir chevalier de Poséidon. Aujourd'hui encore, le dieu ne prends aucune décision pour remettre les armures aux chevaliers sans me consulter.

Lorsque la guerre entre le sanctuaire des eaux et celui du feu éclata,
Je m'occupais pour Poséidon des liens entre les nations et des peuples du royaumes en lui même. Je connaissais parfaitement le domaines des eaux puisque je n'avais jamais céssé de le parcourir. Lors de l'un de mes voyage, ma route croisa celle d'un homme en très mauvais état. Un certain Ikky. Il tenait un très jeune enfant dans les bras. Le garçon se nomait Aphrodite. L'homme m'expliqua quelles étaient ses origines.



Dernière édition par le Mer 25 Juil - 17:52, édité 1 fois
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Kitarian
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MessageSujet: Re: Le chant des sirènes   Le chant des sirènes Icon_minitimeMer 25 Juil - 17:51

De toute évidence, nous ne pouvions pas laisser cet enfant entre les mains d'un certain Minos et Ikky était bien incapable, au vue de son état, de s'occuper, ne serait-ce que de lui meme. Je pris alors le garçon avec moi et le conduisit au palais. Je me demandais alors se que je pourrais faire de cette petite chose rose qui gesticulait tel un ver au bout d'un ameçon.

Ce fut lorsqu'il singea Poséidon que je compris qu'il allait devenir mon fils. je lui fis donc don de mes gènes afin qu'il puisse tout comme moi, vivre sur terre, et dans l'eau. Je l'élevais donc en tant que tel et le formais à la chevalerie sans jamais le contraindre à quoi que se soit. Il avait deux etre en moi. Son père et son Maître chevalier. Il savait à quel moment il était face à l'un ou l'autre des deux hommes.

Je lui laissais choisir alors sa voix. Il devint un chevalier du sanctuaire d'athéna. Celui du poisson. Lorsqu'il endossa son armure, il me quitta donc pour rejoindre son nouveau sanctuaire. Ce fut à contre coeur que je le laissais partir, mais je ne lui avais en rien montré ou dit. Il devait faire sa vie selon ses choix non selon mon bon plaisir.

Poséidon sorti vainqueur du conflit, et moi, j'étais dorénavant, le dernier chevalier encore vivant du dieu. Non seulement mes frères d'armes étaient tombés et avaient déversé leur sang, mais je venais de perdre mes conquettes... quoi qu'en y réfléchissant bien, elles ne se limitaient pas uniquement aux chevaliers...

Bien que vivant, mon état de santé était si déplorable, que pour ma survie, le dieu dû m'endormir. Je vous parle là d'un temps ou la divinité n'avait pas encore rencontré Rune de Balrog.


Durant mon sommeil, la divinité se rendi chez Déméter. Un complot à son encontre fut préparer pour le discréditer dans un premier temps. Il était visé, tout comme tous les dieux non compromis. Demeter n'était pas l'intigatrice de pareille complot qui visait à changer en femme tout dieu refusant de se soumettre à sa volonté. Le sortilège fut alors lancé. Il visait non seulement les dieux, mais aussi chaque être leur étant proche ou étant dans leur coeur. Bien qu'endormis, je détournais la malediction sur moi. Je ne faisais en rien un acte courageux, j'assumais mon rôle. Je devins alors une femme.

Le chant des sirènes Thetys

Mon armure changea elle aussi pour devenir bien hideuse.

Le chant des sirènes Arm_thetis


Une seule chose pouvait, et peut encore me sortir de ce cauchemard : la
destruction totale de celui qui tirait les ficelles d'un tel complot. En attendant, lors des plus grandes marée nocturne, je redeviens moi même. C'est à dire, trois fois par ans et pas une fois de plus.

A mon reveil, Poséidon avait ramené un homme au palais. Il avait la peau plus pâle et plus laiteuse qu'une huitre. Il s'agissait de Rune, justement. Au début, Poséidon s'occupait de le soigner personnellement, puis il me demanda de le faire à sa place. Je m'étais donc exécuté.

Le temps passa et lorsqu'il fut de nouveau sur pied, nous devenions amis. Je peux dire aujourd'hui qu'il est meme mon meilleur ami et de loin.
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Rune




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MessageSujet: Re: Le chant des sirènes   Le chant des sirènes Icon_minitimeMer 25 Juil - 20:04

et? la suite? j'espère que tu vas dévelloper ... aphrodite et
rune! et le rapport rune poséidon.. moi sa me ait trop poilé.
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Kitarian
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MessageSujet: Re: Le chant des sirènes   Le chant des sirènes Icon_minitimeJeu 26 Juil - 11:44

oui je vais develloper mais déjà je fais un tour d'horizon ma caille
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Kitarian
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MessageSujet: Re: Le chant des sirènes   Le chant des sirènes Icon_minitimeJeu 26 Juil - 13:05

Mais je m'emballe et je passe des anecdotes. Après se tour d'horison, je vais revenir sur quelques points.

I) Runes de Balrog

Le chant des sirènes Bscap012


Lorsqu'à mon reveil Poséidon me fis savoir qu'il avait receuillit un homme, un chevalier de Demeter, je fut tout d'habord désagréablement surpris. Mais je connaissais déjà bien le dieu, et je savais fort bien qu'il était rare qu'il tende la main. Cet homme devait donc avoir quelque chose de plus que les autres.

A peine étais-je capable de marcher, que je me reseignais sur Rune. Je ne désirais en rien connaitre ses origines, s'était l'homme en lui même que je voulais cerner. Je voulais savoir quels éventuels danger pourraient venir de lui. En plus de devoir former les nouveaux prétendants chevaliers, je m'attelais à cette tache que je m'étais moi même imposé.

Les premiers jours, Poséidon s'occupais lui même de son "protégé", puis un jour, j'ignore quelle en était la cause, il me confia cette tache en plus des autres que je possédais déjà. J'avoue qu'au début, je n'en étais pas charmé, bien au contraire. N'étais-je bon qu'à servir de nourrice? Ma nouvelle condition de femme me cantonnait-elle à cette nouvelle "prison"? Pourtant je m'exécutais.

Les premiers jour, Rune chassa ma main faiblement comme s'il s'agissait d'un insecte. Cela me fit bien vite perdre patience. Je lui avait donc dis que s'il n'aimait pas sentir mes mains sur lui, il ferait mieux de se laisser faire, car plus vite il serait sur pied, plus vite il pourrait envisager de réellement chasser les intrus de sa chambre. Comme il cessa sa "rebelion" plus que superflue et inutile, je me présentais à lui convenablement. Je savais que même inconscient, il m'entendait.

A force de faire des recherches, je compris bien vite que son coeur appartenait à l'océan au moins autant que ma vie. Alors, toujours sans attendre de réponse de sa part, je lui expliquais ou il se trouvait, et comment était le royaume de Poséidon. Je le "narguais" pour l'insiter à récupérer plus vite, en lui disant que s'il allait mieux avant que je ne doive repartir, je lui ferais découvrir les "trésors" de l'océan.

Chaque fois que mon role de "formateur" me le permettait, je me rendais à son chevet. De toute évidence, s'était un homme cultivé, alors chaque nuit, je lui faisait la le. J'avais conscience qu'une présence et une voix, donnaient à cet homme un attache au mondes des "vivants" et à la réalité. En quelques semaines, mes efforts furent récompensés puisqu'il reprit totalement connaissance. Cependant, il était trop faible pour parler et pour ce mouvoir.

Il me regardais de ses grands yeux mauve sans bouger. Je lui avais souris en lui disant de ne pas s'inquiéter, qu'il n'était pas mon type d'homme que je les aimais vivaces. Je savais que de le taquiner de cette manière, intérieurement, même s'il ne montrait rien, cela le faisait réagir et la volonté de guerir et de se débrouiller seul surpasserait son état.
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Kitarian
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MessageSujet: Re: Le chant des sirènes   Le chant des sirènes Icon_minitimeJeu 26 Juil - 13:30

Alors qu'il était reveillé, je continuais de lui prodiguer des soins et de lui faire sa toilette, mais lorsque je faisais cette dernière partie, pour ne pas géner son éventuelle pudeur, je me bandais les yeux à chaque fois. Nourrice ne voulait pas dire irrespectueux. Je le sentais grincer des dents à chaque fois que je le lavais. J'avais fini par lui dire que si j'avais des bouées sur le torse, ça ne signifiait pas forcément que j'avais des hormones en ébulition. J'avais poursuivis en plaisantant en lui disant que ça ne serait pas amusant si je lui sautais dessus maintenant, puisqu'il n'aurait pas de répondant.

Lorsque sa toilette fut terminée je l'avais de nouveau habillé. Mais les yeux bandés, ce n'était pas du tout évident. Lorsque je me libérais de nouveau la vue, je constatais que je lui avais mis sa chemise à l'envers. Je m'en étais excusé et puis j'avais poursuivis en disant qu'ainsi, demain elle serait à l'endroit. Cela lui fit esquisser un sourire.

Puis l'heure du repas arriva. Maintenant qu'il était conscient, il pouvait me faire comprendre que la cuisine du palais était immonde. J'avais ouvert le plat et regardé avec dégout. De toute évidence, si je le soignais d'un coté, cela faisait des jour que je l'empoisonnais de l'autre. Je lui avais alors fait signe de ne pas faire de bruit, j'avais balançé par la fenetre l'immonde chose que l'on prétendais être de la nourriture, puis j'avais quitté la chambre. J'étais revenu une heure plus tard avec de la nourriture digne de ce nom.

Rune m'avait regardé bisarrement. Je l'avais redressé dans son lit et je m'étais assis sur le rebord. Je pense qu'il croyait que se que j'avais ramené était encore bien pire quavant meme si l'odeur n'était pas désagréable. En voyant son dégout, je me mis à manger devant lui.
- vous avez tord, vous ne savez pas se que vous manquez.
J'entendais son estomac grouler, mais je ne me génais pas pour le narguer. C'est alors qu'il tenta de m'attraper.
- voila s'est tout se que je voulais savoir.
Je souris et me mis à l'alimenter.
- vous devez absolument essayer de bouger vos muscle ou ils se ratrofieront.
Pour la première fois, il mangea avec appétit. Il faut dire que je lui avais ramené des plats du royaume d'ou je venais.

Après mangé, il me montra du regard la fenetre.
- Je n'ai qu'une parole, se soir je vous emmènerais en douce faire un tour et vous montrer se qu'est réellement le monde de Poséidon.
J'avais souris et je vis l'inquiétude dans ses yeux.
- Ne vous souciez pas de moi, il n'y a rien de pire que d'etre prisonnier de sois même et pour l'instant, au vue de votre état actuel, s'est une chose que nous avons en commun.

Je pris alors congé de lui et comme chaque jour, je fis un compte rendu détaillé à poséidon.

A la nuit tombée, je me rendis dans les quartier attribué à Rune discrètement. Je n'avais prévenu personne. Ce n'était pas par manque de confiance envers poséidon, mais je n'aimais pas le regard de certaines recrue et lorsque le dieu me demanderait mon avis sur elles, je ne me gènerais absolument pas pour lui dire qu'il y avait des traitre potentiels parmis les aspirants. Je plaçais alors Rune dans un fauteuil roulant.
- ne vous inquiétez pas, vous ne risquez rien et moi, j'ai déjà été accusé d'enlèvement sur la personne de Poséidon, alors un peu plus ou un peu moins. Je sais que le dieu me connait donc qu'il comprendra, les autres, je ne m'en soucie pas.
J'avais souris.
- pret pour la balade?
Nous étions arrivé devant les escaliers. Je l'avais vu déglutir difficilement. Il ne se doutait pas que je n'avais pas l'intention de l'achever de suite.
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Rune




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MessageSujet: Re: Le chant des sirènes   Le chant des sirènes Icon_minitimeJeu 26 Juil - 14:52

mdr alez la suite!!
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Kitarian
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MessageSujet: Re: Le chant des sirènes   Le chant des sirènes Icon_minitimeJeu 26 Juil - 14:55

suis con quand je m'y met hein!
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Rune




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MessageSujet: Re: Le chant des sirènes   Le chant des sirènes Icon_minitimeJeu 26 Juil - 14:56

ouais mais j'aimerais bien la suite... (t'a msn?)
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Kitarian
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MessageSujet: Re: Le chant des sirènes   Le chant des sirènes Icon_minitimeJeu 26 Juil - 16:51

minutes, je tape comme sa vient
(pas avant 17-18h)
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MessageSujet: Re: Le chant des sirènes   Le chant des sirènes Icon_minitime

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